Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Joueur de haches
Sept heures de nuit, sept ans de veille : joueur de haches, couché à l’ombre de morts levés — o les arbres que tu n’abats pas ! — à ton chevet le faste du silence, la sébile des mots à tes pieds, tu es couché et tu joues de tes haches — et enfin tu luis comme elles d’éclairs.