Comité de rédaction

Fondateur

 

Michel Deguy (1930-2022)

Poète, philosophe, professeur émérite de littérature à l’Université de Paris 8, il a fondé la revue Po&sie en 1977 et l’a dirigée jusqu’en 2020. Il a présidé le Collège international de philosophie de 1989 à 1992, et la Maison des Écrivains de 1992 à 1998.
Son œuvre est publiée principalement chez Gallimard (deux tomes de la collection « Poésie/Gallimard » rassemblent les parutions de 1960 à 2007), au Seuil (collections « Fiction et Cie » et « Librairie du XXIe siècle »), chez Galilée (six ouvrages dont La Raison poétique, 2000, et La Vie subite, 2016), et chez Hermann (Ecologiques, 2012 ; La Fin dans le monde,  2009).
Un récit relate ses vingt-cinq années d’appartenance au comité de lecture de Gallimard (Le Comité, Champ Vallon, 1988). Citons, parmi ses nombreux essais, celui consacré à Marivaux : La Machine matrimoniale (Gallimard, collection « TEL », 1982).
Les titres les plus récents sont des poèmes : Tombeau pour Yves Bonnefoy (Éd. La robe noire, 2018), Divan amoureux (à Alger, 2018), Prose du suaire, poème en vingt langues (Almanar, 2015) ; des textes de poétique : Noir, impair et manque (Argol, 2016), L’Envergure des comparses (Hermann, 2017) ; et La Commaison (L’Extrême Contemporain, 2022).

 


Rédacteur en chef 

 

Martin Rueff

Poète, traducteur et philosophe, Martin Rueff est professeur à l’Université de Genève. Il travaille au sein du comité de Po&sie depuis 2002. Il a contribué à l’édition des œuvres de Claude Lévi-Strauss et de Michel Foucault dans la « Bibliothèque de la Pléiade ». Il est le traducteur – en français – de Carlo Ginzburg, de Giorgio Agamben. Il a été chargé de la retraduction des œuvres d’Italo Calvino par les éditions Gallimard. Il a publié plusieurs livres de poésie, dont Icare crie dans un ciel de craie (Belin, « L’extrême contemporain », 2008 et 2012) et, plus récemment, La Jonction (Nous, 2019). Il est l’auteur d’une étude consacrée à Michel Deguy : Différence et identité, Michel Deguy, un poète lyrique à l’âge du capitalisme culturel (Hermann, 2009). Il a dirigé le colloque de Cerisy consacré à Michel Deguy.
En 2018 il a fait paraître Foudroyante pitié (Éd. Mimésis) ; À coups redoublés, la théorie de l’homme de Jean-Jacques Rousseau et sa philosophie de l’expression (Éd. Mimésis), deux essais reconnus par le prix La Bruyère de l’Académie française. En 2019, il a publié le premier volume posthume de Jean Starobinski, Le Corps et ses raisons (Le Seuil, Librairie du 21e siècle). Il travaille actuellement à plusieurs essais et à deux livres de poèmes. Il est travaillé par eux serait plus juste.

Wikipédia

 


Rédacteurs en chef adjoints

 

Claude Mouchard

Né en 1941, Claude Mouchard  a été professeur de littérature comparée à l’Université de Paris 8. Il est membre du comité de la revue Po&sie depuis sa création et a été, notamment, le maître d’œuvre des numéros spéciaux sur les poésies sud-coréennes, japonaises et africaines contemporaines.
Il a publié des articles, poèmes ou fragments  dans quantité d’ouvrages collectifs et de revues (Critique, Littérature, Le Temps de la Réflexion, Fario, Poezibao, etc.). Il a traduit de très nombreux ouvrages, souvent en collaboration, notamment de l’anglais (Elizabeth Bishop, avec Linda Orr), de l’allemand (Rilke, avec Hans Hartje), du japonais (Toge Sankichi, Yoshimazu Gôzô), du chinois (Yu Jian), du coréen (Yi Sang, Ki Hyung-do, Kim Hee-soon)…
Parmi ses œuvres publiées, citons :
– des poèmes : Perdre (1979), Ici (1986), L’Air  (1997), Papiers !  (2007), Entangled, Papers, Notes (recueil de poèmes en français et – dans la traduction de Mary Shaw — en anglais, 2017).
– des essais : Un grand désert d’hommes, les équivoques de la modernité (1991), Qui si je criais…? Œuvres-témoignages dans les tourmentes du XXe siècle (2007).

Wikipédia

 

Hédi Kaddour

Hédi Kaddour vit à Paris. Il a enseigné la littérature française à l’ENS de Fontenay/Saint-Cloud/Lyon de 1984 à 2006.
Il a écrit huit ouvrages chez Gallimard :
Trois recueils de poèmes, La fin des vendanges (1989), Jamais une ombre simple (1995), Passage au Luxembourg (2000).
Un journal, Les Pierres qui montent (2010)
Quatre romans, Waltenberg (2005), Savoir-vivre (2010), Les Prépondérants (2015), La nuit des Orateurs (2021).
Il est également l’auteur de deux recueils d’essais et micro lectures, L’émotion impossible (Le temps qu’il fait) et Inventer sa phrase (Victoires éditions). Il a traduit de l’allemand la Minna von Barnhelm de Lessing (Corti) et de l’anglais les Poèmes de Wallace Stevens (en collaboration avec N. Blake, Delta éditions).

Wikipédia

 

Laurent Jenny

Universitaire et écrivain. Professeur honoraire de l’université de Genève où il a enseigné la théorie du style et la littérature française moderne de 1980 à  2015. Invité aux universités de Yale et Johns-Hopkins.
Auteur de nombreux articles dans Poétique, Critique, etc. Entre autres livres, a publié deux ouvrages dans la collection de Michel Deguy
« L’Extrême contemporain » : La parole singulière (1990) et Je suis la révolution (2008). Ses essais portent essentiellement sur les idéologies littéraires et esthétiques. Ses textes littéraires sont des proses poétiques dont un certain nombre paru dans Po&sie.

Derniers titres : La vie esthétique (Verdier, 2013), Le lieu et le moment (Verdier, 2015), La brûlure de l’image (Mimésis, 2019), Le Désir de voir (L’Atelier contemporain, 2020).

 


Membres du Comité

 

Olivier Apert

Né et vit à Paris. Poète, essayiste, traducteur, dramaturge et librettiste.
A travaillé avec les chorégraphes Sylvain Groud et Muriel Piqué. Ses lectures sont musicalisées par le compositeur David Tuil.
Parmi une trentaine de livres, il a publié récemment :
– de la poésie : Infinisterre suivi de Crash (Editions Apogée, 2006),  Upperground (La Rivière échappée, 2011), Si et seulement Si (Lanskine, 2018) ; Le point de voir est à paraître chez Lanskine en 2021 ;
– des essais : Baudelaire. Être un grand homme et un saint pour soi-même (Infolio, 2009), Gauguin, Le dandy sauvage (Infolio, 2012), Eloge de la provocation (en collaboration avec François Boddaert, Obsidiane, 2013), Robert de Montesquiou, Souverain des choses transitoires, (Obsidiane, 2016) ;
– des traductions : Manifeste féministe & Ecrits modernistes, Mina Loy (Editions Nous, 2014), Women, Anthologie de la poésie féminine américaine du XXe siècle (Le temps des cerises, 2014), Poésies complètes, Mina Loy (Editions Nous, 2017), Blues sur Paroles – une anthologie des textes du blues depuis 1920 (Le temps des Cerises, 2019).
– une correspondance : Babillages (avec Guillaume Decourt), Correspondance privée des Drs. Aperstein et Decourtsberg (Le Coudrier, 2019).

 

 

Guillaume Artous-Bouvet

Guillaume Artous-Bouvet est poète et critique littéraire. Il enseigne les lettres en classes préparatoires aux grandes écoles, à Lyon.
Il dirige, aux éditions Rumeurs, une collection d’essais consacrée à la poésie, intitulée « Raisons poétiques ».
Principales publications :
– essais : L’Exception littéraire (Belin, 2012) ; L’Hermétique du sujet (Hermann, 2015) ; Inventio (Hermann, 2019) ; Derrida, le poème (Hermann, 2022).
– poésie : Prose Lancelot (La rumeur libre, 2020) ; Tantris (Tituli, 2021) ; Glacis (La rumeur libre, 2021) ; Vitré (Monologue, 2022).

 

 

Gisèle Berkman

Gisèle Berkman a été directrice de programme au Collège International de philosophie où elle a mené un séminaire sur les représentations de l’activité de pensée.
Nombreux articles sur les Lumières, mais également sur Maurice Blanchot, Jacques Derrida, Günther Anders, Michel Deguy.
Elle a coordonné plusieurs ouvrages collectifs, parmi lesquels Figures du dehors, autour de Jean-Luc Nancy (co-dir. Danielle Cohen-Levinas, éd. Cécile Defaut, 2012). Elle a également coordonné des numéros de revue. Le dernier en date est le numéro de la Revue des Sciences humaines consacré à « Jean-Louis Giovannoni, les gestes des mots » (n° 339, juillet-septembre 2020).
Parmi ses livres : L’Effet Bartleby, philosophes lecteurs (Hermann, 2011), La Dépensée (Fayard, 2013).
Dernier livre paru : Madame (éd. Arléa, 2021).
À paraître en 2023 : La question juive de Maurice Blanchot (éd. Le Bord de l’eau).

 

 

Camille Bloomfield

Née à Bruxelles en 1982, Camille Bloomfield est maîtresse de conférences à l’Université Paris Cité, poétesse et traductrice. Membre de l’Oplepo et de l’Outranspo, spécialiste de l’Oulipo et de la littérature contemporaine expérimentale, notamment dans ses déploiements  numériques les plus récents, elle a publié entre autres Raconter l’Oulipo (1960-1992).  Histoire et sociologie d’un groupe littéraire (Honoré Champion, 2017), et dirigé l’édition de numéros de revue sur le manifeste (Le manifeste à travers les arts : devenirs d’un genre indiscipliné, Itinéraires, 2018), la traduction de la contrainte (Translating constrained literatureModern Language Notes, vol. 131 n°4, 2016), ou encore le document (Usages du document en littérature, Littérature n° 165, 2012)… De l’italien, elle a traduit notamment Patrizia Valduga (Cent Quatrains érotiques, Nous, 2021) ; de l’anglais, Henry David Thoreau (La Montagne, Atelier de l’Agneau, 2012), et le poète népalais Yuyutsu RD Sharma (Poèmes de l’Himalaya, L’Harmattan, 2009). Elle dirige la collection « les gens connectés » aux éditions Les Venterniers, où elle a publié en 2022 le livre de poésie et d’illustration Les gens qui datent.

 

 

Xavier Bordes

Entre au Comité de la revue en 1986. Organiste, compositeur, musicologue, il se tourne vers les études d’histoire en Sorbonne, puis vers la littérature à l’Université de Vincennes avec J.-P. Richard, Michel Butor, Michel Deguy, Yves Bonnefoy notamment. À partir de 1969, il devient enseignant en lettres, journaliste, et traduit des poètes grecs — Elytis, Anagnostakis, Davvetas, Zakythinos (etc…) — et des auteurs latins et allemands.
Il a publié plus d’une quarantaine de livres, dont trois gros recueils chez Gallimard : La Pierre Amour (1987- rééd. 2015), Comme un bruit de source (1999), À jamais la lumière (2001). Il soutient la fondation des Éditions Mille et une Nuits, écrit des textes critiques sur divers peintres ou photographes (Rougemont, Le Cloarec, Tisserand, Four, Brandon, Leick, etc…) et collabore avec le Centre Pompidou (Expo. Elytis – un méditerranéen universel -1988 ; Les Surréalistes grecs – 1989). Depuis plusieurs années, XB collabore également avec la revue belge Traversées et ses éditions. Publie ses poèmes par Internet, notamment sur un blog personnel quotidien chez WordPress.
Dernier livre paru : L’Astragalizonte et autres poèmes (Anthologie –
Ed. Traversées, 2016).
Dans la revue NUNC n°49 (Automne 2020) a paru un petit dossier Xavier Bordes.

Wikipédia

 

   Jean-Patrice Courtois

Poète, critique et philosophe, il a enseigné à l’Université Paris-Diderot/Paris Cité comme Maître de conférences.
Il a publié une douzaine de livres, dirigé trois volumes collectifs et publié plus de 120 articles en littérature, philosophie, esthétique et poésie moderne et contemporaine, de Reverdy à Olivier Cadiot.
Il travaille par ailleurs aux relations entre littérature, philosophie, esthétique et écologie, cf. « Promouvoir la perception – Thoreau et Leopold dans la nature », Les Limites du vivant (Ed. Dehors, 2016). Séminaire donné pendant 6 ans intitulé « Littérature, esthétique, écologie ») à l’Université Paris-Diderot. Son travail de poète prend aussi en charge poétiquement la question nature/écologie (une trilogie en cours dont les deux premiers volumes sont parus :
Théorèmes de la nature et Descriptions).
Poésie (principaux titres)
Vie inverse (Deyrolle/Verdier 1992), Hors de l’heure (Deyrolle/Verdier, 1996), Complication du sommeil (Circé, 2001), D’arbre et d’œil (Paris, Prétexte, 2002), Les Jungles plates (Caen, Nous, 2010), Mélodie et jugement, (Paris, Editions 1 :1, publié avec les Lettres de Cyrano de Bergerac, 2013), Théorèmes de la nature (Caen, Nous, 2017),
Descriptions (Caen, Nous, 2021).
Essais (principaux titres)
Inflexions de la rationalité dans l’Esprit des lois – Écriture et pensée chez Montesquieu (Paris, PUF, 1999), De la retraduction – Le cas des romans, (dir., Bruxelles, La Lettre volée, 2014), Langage et document (Marseille, Zoème, 2022).

 

 

Denis Guénoun

Né en 1946 à Oran. Professeur émérite de Sorbonne Université (Faculté des Lettres). Ouvrages récents : Des Verticales dans l’horizon (Labor et Fides, Genève, 2018), Le théâtre est-il nécessaire ? (trad. Antigona, Madrid, 2015 – Circé 1997), Un Sémite (trad. Columbia University Press, 2014 – Circé, 2003), Hypothèses sur l’Europe (trad. Stanford University Press 2013 – Circé 2000.)
Pour la scène, Mai, juin, juillet (Éd. Les Solitaires Intempestifs 2012), a été créée au TNP (Villeurbanne) en 2012-2015 et au Festival d’Avignon 2014, mise en scène de Christian Schiaretti, et Soulever la politique à la Comédie de Genève (nov. 2017), mise en scène de Stanislas Roquette.
Ses récentes mises en scène, Qu’est-ce que le temps ? (Le Livre XI des Confessions d’Augustin) et Artaud-Barrault ont été représentées entre 2010 et 2017 dans de nombreuses villes et plusieurs pays, et Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza), a été créée au Théâtre National de Chaillot puis au TNP en 2015.
Un colloque a été consacré à ses travaux par les Universités de Lausanne (Marc Escola), de Genève (Martin Rueff, Eric Eigenmann) et la Comédie de Genève (Hervé Loichemol) en novembre 2017, dont les actes sont à paraître à l’automne 2019.

Site de Denis Guénoun

 

Marielle Macé

Marielle Macé est universitaire et écrivaine. Directrice de recherche au CNRS, ancienne pensionnaire de l’Académie de France à Rome (Villa Médicis), elle est aussi directrice d’études à l’EHESS, et fait partie des animateurs de la revue Critique (Minuit).
Ses livres explorent les formes de la vie, les colères et les espoirs qui les animent — vie commune, vies précaires, espaces vulnérables et zones en lutte…
Parmi ses publications : Façons de lire, manières d’être (Gallimard, 2011, rééd. « Tel », 2022), Styles. Critique de nos formes de vie
(Gallimard, 2016), Sidérer, considérer. Migrants en France (Verdier, 2017), « Nous » (numéro spécial de Critique, Minuit, 2019), Nos cabanes (Verdier, 2019), Parole et pollution (AOC, 2021), Une pluie d’oiseaux (José Corti, 2022), Respirer (tout court) (Verdier, 2023).

Wikipédia

 

Guillaume  Métayer

Né à Paris en 1972, Guillaume Métayer est chercheur au CNRS, traducteur et poète.
À côté de poèmes (notamment Libre jeu, Caractères, 2017, préface de Michel Deguy), et d’essais critiques (tels que Nietzsche et Voltaire, Flammarion, 2011 ; ou, sur la traduction, A comme Babel, préface de Marc de Launay, La Rumeur libre, 2020), il traduit du hongrois, tant les poètes et écrivains contemporains (István Kemény, Krisztina Tóth…) que modernes et romantiques (Gyula Krúdy, Attila József, Sándor Petőfi…), ainsi que de l’allemand (Poèmes complets de Nietzsche, Les Belles lettres, 2019 ; Kafka ; poésie contemporaine autrichienne) et du slovène (Aleš Šteger).
Il est également membre du comité de rédaction de la revue Place de la Sorbonne.

 

 

Claire Paulian

Claire Paulian vit et travaille à Paris : elle écrit de la poésie,  de la critique littéraire et enseigne comme Maîtresse de Conférences à l’Université de  Paris Cité. Elle s’intéresse particulièrement aux questions de mémoire et de transmission.

 

 

 

 

 

Richard Rand

Professeur émérite de littérature anglaise à l’Université de l’Alabama (Tuscaloosa). Spécialités : le romantisme anglo-américain (de Wordsworth à Melville), la critique contemporaine. Traducteur – vers l’anglais – de Derrida (Glas, Signéponge, Mochlos), de Paulhan (De la paille et du grain) et de Jean-Luc Nancy (Corpus). A dirigé l’édition de deux ouvrages collectifs : Logomachia: the Conflict of the Faculties, (University of Nebraska Press,1992) et Futures: for Jacques Derrida (Stanford University Press, 2001). A publié de nombreux articles sur la musique et les arts plastiques, sur Baudelaire, Benjamin, Yeats, Ashbery, etc. Prépare actuellement un ouvrage sur Blanchot. Membre du comité de Po&sie depuis 2006.

 

 

Tiphaine Samoyault

Tiphaine Samoyault vit à Paris où elle enseigne la Littérature comparée, en particulier la littérature mondiale et la philosophie de la traduction. Elle est directrice d’études à l’EHESS depuis 2020 après avoir été professeure à l’Université Paris 8 puis l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Elle est l’autrice d’essais, de récits et de traductions littéraires. Elle a également consacré de nombreux articles à la littérature contemporaine. Ses derniers livres parus sont Traduction et violence (Seuil, 2020), Roland Barthes (Seuil, 2015, traduit dans dix langues) et Bête de cirque (2013). Elle collabore à de nombreuses revues littéraires et co-dirige avec Jean Lacoste le journal en ligne En attendant Nadeau. Elle fait partie du comité de Po&sie depuis 1999.

Wikipédia

 

Peter Szendy

Professeur en humanités à l’université de Brown et conseiller musicologique pour la Philharmonie de Paris, visiting professor à Princeton et à NYU, il a aussi enseigné au département de philosophie de l’université de Nanterre et au département de musique de l’université de Strasbourg.
Il a également été rédacteur en chef des publications de l’Ircam, de 1996 à 2001.
Il est notamment l’auteur de : Le Supermarché du visible. Essai d’iconomie (Minuit, 2017) ; À Coups de points. La Ponctuation comme expérience (Minuit, 2013) ; Kant chez les extraterrestres. Philosofictions cosmopolitiques (Minuit, 2011) ; Tubes. La philosophie dans le juke-box (Minuit, 2008).
Il a été le commissaire de l’exposition Le Supermarché des images au Jeu de Paume en 2020.

Wikipédia

 

 Theombogü

Theombogü est écrivain. Il est l’auteur notamment de Demain ne viendra jamais (La Crypte, 2014) et Un végan chez les Pygmées (Pétra, 2022). Lauréat de la bourse PAUSE sous l’égide du Collège de France en 2019, il est depuis mars 2022 membre du comité de rédaction de la revue Po&sie.

 

 

 

 

Dumitru Tsepeneag

Né en 1937 à Bucarest, Dumitru Tsepeneag est un écrivain d’expression roumaine et française. Déchu de sa nationalité par Ceaușescu en 1975, il est contraint à l’exil et sera naturalisé français en 1984.
Il appartient au comité de Po&sie depuis 1994.
En 1975, il fonde et dirige les Cahiers de l’Est, revue trimestrielle de littérature qui paraîtra jusqu’en 1980, puis Les Nouveaux Cahiers de l’Est (de 1991 à 1992), puis Seine et Danube (de 2003 à 2005).
Dès les années 1960, il traduit en roumain de nombreux auteurs : Béguin, Deguy, Malraux, Nerval, Pinget, Robbe-Grillet… Et, plus récemment, Blanchot, Kojève et Derrida.
Derniers ouvrages parus : La Belle Roumaine (2006), Frappes chirurgicales (2009), Le camion bulgare (2011).

Wikipédia

 

 


Correspondants

 

Chawki Abdelamir         Wikipédia

Clayton Eshleman         Wikipédia

Pierre Joris                        Wikipédia

Li Jinjia                               La Revue des ressources

Ono Masatsugu               Wikipédia

Hans-Michael Speier   Wikipédia

Nathaniel Tarn               Wikipédia

Ueda Makiko                    Inalco

 


Anciens membres du Comité de rédaction

 

Michel Chaillou              Wikipédia

Robert Davreu                 Wikipédia

Alain Duault                     Wikipédia

Bruno Grégoire               Marché de la poésie

Jean-Paul Iommi-Amunategui   Wikipédia

Max Loreau                      Wikipédia

Claire Malroux                Wikipédia

Robert Marteau              Wikipédia

Pierre Oster                      Wikipédia

Jean-Yves Pouilloux     CRMH

Jacques Roubaud           Wikipédia

Antoine Raybaud           Wikipédia

Laurent Zimmermann

 


Anciens correspondants

 

Christopher Middleton      Wikipédia

Gaston Miron                        Wikipédia

John Montague                     Wikipédia

Jean-Pierre Moussaron    Wikipédia

Maciej Niemiec                    Wikipédia

Edison Simons                     BNF

György Somlyó                    Wikipédia

Edward Stachura                Wikipédia

Kenneth White                    Wikipédia