Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Une ligne obscure
traverse la nuit et se reconnaît Une âme
souriante compagne à tire-d’aile s’élève
vers le large prospecte vers le corps
Une âme au levain de sabbat
s’affaisse sur le corps
Une horloge prend son essor
court après une aiguille qu’elle ne rejoint
Une horloge maussade
Les âmes trépassées s’inspirent de la statuaire
Paysage à même mes campagnes
La mort nénuphars frustrés du viol Barabbas
Quel règne en ces lieux pour servir rente
la monnaie du silence