Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Tu peux me servir de la neige : quand, épaulés l’un à l’autre, moi et l’arbre mûrier, je marchais dans l’été, il y avait chaque fois le cri de sa plus jeune feuille.
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Tu peux me servir de la neige : quand, épaulés l’un à l’autre, moi et l’arbre mûrier, je marchais dans l’été, il y avait chaque fois le cri de sa plus jeune feuille.