Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Cercle du pas de
nuit, la nuit qui
s’invente dans les doigts
transforme le dé en
pierre — les ciseaux
qui tombent, se dessèchent
et nous perdons des mots
le toucher des choses
venu, appelait
comme autrefois près de l’évier
la terre sous les ongles
l’image d’un ventre
l’image, au bout de la langue.