Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Archimède
Chauve vieillard, ne t’effraye pas
Si ton ombre ne viendra pas
On va lui trouver quelque part
Une plus multiple racine
Essuyé ton trièdre fleuri
D’angle plus vague au coin de bouche,
Des chambres liquides ont frémi
Jusqu’au plafond, holothuries
Ramasse ta pensée circonscrite
Et prends du sable, ça ne se voit pas :
Le soldat qui t’a tué
Semblait au soir être Archimède.