Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Pour Michel Benhamou (1929-1978)
les cloches sonnent sans raison
T. Tz.
si merveilleux
semblent les mots :
si dérisoires à la fin
de voler là
dans le vent
comme cendres
dansant sur les vagues :
eaux bleues intermédiaires
l’eau te regarde
écrivait Tristan Tzara
laissant une trace sourde
semences & sirènes
de la seule
maladie
dont on ait soin encore :
la mort