Littérature, philosophie, crédit
À l’occasion de la parution du deuxième tome d’Histoires d’Escrocs, de Jean-Michel Rey, (Éd. de L’Olivier, 2013), Michel Deguy a invité l’auteur à discuter avec Gisèle Berkman (La Dépensée, Fayard, 2013) et Patrice Loraux (Le Tempo de la pensée, Éd. du Seuil, 1993).
Ayant sans fin affaire aux mots sans jamais pouvoir en faire l’économie, la littérature ne peut éviter de s’affronter aux diverses formes de ce qu’on appelle le « crédit » : elle en dépend pour partie et ne cesse d’en parler, elle en vit — et peut en mourir. Il en va sans doute de même de la philosophie… L’une et l’autre se doivent de montrer ce qui les assigne à la tâche interminable de pourfendre l’escroquerie.
Début des interventions :
Michel Deguy (Introduction) : 18’’
Gisèle Berkman : 3’ 25’’
Jean-Michel Rey (Réponse) : 15’ 07’’
Michel Deguy : 26’ 10’’
Jean-Michel Rey (Réponse) : 50’ 15’’
Patrice Loraux : 1h 5’ 10’’
Jean-Michel Rey (Réponse) : 1h 36’ 20’’
Michel Deguy… puis questions du public : 1h 41’