un Poème pour une visite

Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.

L’arbre des mouches le vent
l’a noirci d’impossibles
rêves       Vois-tu leurs émissaires
de toute-puissance tous paraît-il procèdent
des plus basses terres comme
des crabes oui

 

la faim dit-on encore… la mémoire à blanc
tenaillée
(autant que la minceur de la croûte terrestre)
fit d’eux des conquérants des Astres
anémiques messagers bien pourvus d’ailes mais
désolés

 

Oh ! c’est aussi simple
qu’un cercle mais
tu ne sauras pas quand
j’aurai dit :     Commencer