un Poème pour une visite

Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.

L’été

Les jours passent avec le doux frémir des souffles,
Quand ils confondent faste des nues et des champs,
La fin du val touche des monts les crépuscules
Là, où les flots du torrent se sont engloutis.

 

L’ombre des forêts semble élargie à l’entour
Où le ruisseau aussi glisse au loin sur sa pente,
Et visible est l’image du lointain aux heures
Où l’homme en lui-même pour ce sens s’est trouvé.