un Poème pour une visite

Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.

L’hiver

Et qu’un haut éclat brille sur la vaste plaine,
Alors l’été lointain ravit, et en douceur
Le printemps souvent s’approche quand tombe l’heure.

 

L’apparition fastueuse est, l’air est plus fin,
Claire est la forêt, des hommes pas un ne va
Par des rues trop à l’écart, le silence fait
L’élévation, et pourtant tout sourit encore.

 

Le printemps ne paraît pas en luisantes fleurs
Être si plaisant aux hommes, mais les étoiles
Sont claires dans le ciel, on aime regarder
Le ciel au loin qui ne change presque jamais.

 

Les fleuves sont comme des plaines, les figures
Sont, même éparses, plus présentes, la douceur
De la vie reste durable, l’ampleur des villes
Apparaît très bien sur l’étendue sans mesure.