Poème choisi de façon aléatoire dans notre fonds à chaque visite de cette page.
Je dis le passage marelles évitant
la ligne mince d’un éternel village
le soir inchangé de la fille à double visage
chiffrant ses pointes mâchant ses voeux tressant
cheveux sur la pierre célèbre,
je dis l’astre lointain cérébral
reprise l’éternel passage
comme chaos K.O. labyrinthe pas mauve
à force de marcher dans les douches du temps
entre l’obscur et le présent,
je dis soleil l’immanquable rasant
comme un jet de pierre mauvais
à force quatre la mémoire
au-delà de l’épais rideau,
entre le masque de varech et les rides de l’océan.